En terme de survie, l’humanité a posé son évolution sur la résilience, c’est-à-dire sa grande capacité à s’adapter à tout, y compris à ce qui peut être nocif et contraire à son bien-être.
La peur devient alors une grande source d’évolution et savoir manipuler par la peur, un pouvoir qui bien que discutable, existe bien et bel dans la société occidentale. Ceci nourrissant au final les moralisateurs en tous genres, c’est-à-dire les biens pensants/croyants.
L’environnement le plus nocif, actuellement, est l’enfermement des gens dans cette « bien-pensante », qui nourrit la peur d’être, par l’envie d’être autre chose qu’un humain apprenant le monde émotionnellement autant que rationnellement.
Différencier les deux, revient à séparer qui nous sommes au lieu de nous réunifier.
Et si la peur engendre cette scission, la morale en est le géniteur et la résilience le moyen.
